BIO
Je m'appelle Lucas Leroy.
Je suis né avec un trouble du spectre de l'autisme (TSA), peut-être, mais j'ai eu la grande chance d'être soutenu par une famille canado-française qui m'aime autant et bien sûr, par deux de mes grandes passions préférées : l'animation 2D et le dessin à la main.
J'adore m'inspirer volontairement d'œuvres et de marques de pleins de choses (même les choses de la vraie vie et de mes rêves), en particulier les livres pour enfants, les logos, les séries et films d'animation, les bande-dessinées et surtout les personnages de cartoon de tous les genres (sauf les mangas, dans mon cas à moi) pour inventer mes histoires et les rendre purement originales avec mon talent d'illustrateur et d'animateur 2D en mode basique qui passe plutôt bien en terme de qualité.
J'ai commencé ma carrière d'artiste, quand j'étais petit, en dessinant des bonhommes allumettes ressemblant à mes parents, Martyne (une mère d'ici, née au Québec), Philippe (un père de la France, né à Paris) et le plus souvent, à mon frère Elliot (un frère d'ici, comme ma mère). Puis, en m'inspirant d'une collection de livres pour enfants londonienne, j'ai crée mes propres personnages fictifs appelés Cerclus, un cercle bleu avec des membres et ses deux amis proches, Trianglus et Hexagonus, qui sont comme lui, mais de couleur différente. Leur groupe s'est agrandit jusqu'à 14 membres depuis son nouveau nom : Les LuckyToons (auparavant Les Minis-Formes-Héros, personnellement) afin de rendre les personnages principaux plus au genre ''cartoon'' que ''préscolaire''.
À l'adolescence, j'ai crée plusieurs bande-dessinées des LuckyToons qui ont vu le jour en 2013 jusqu'en 2017 et une version web-animée de celles-ci a été mise en ligne depuis décembre 2013 sur YouTube.
Vous pouvez y jetez un œil dans la section ''Animation'', au bas de la page.
Pour la suite, je comptes partager mon expérience d'animateur et d'artiste 2D avec des gens et des studios qui ont cette expérience-là, non seulement pour travailler dans le domaine de l'animation, mais aussi pour apprendre à me connaître, y compris le vrai fonctionnement de cette industrie-là.
Même les autistes comme moi peuvent travailler dans un domaine qui les passionnent autant.
Tout le monde le dit et c'est bien vrai.